Contre la désinformation
La guerre contre l'Islam radical se mène sur le terrain de l'information. Les médias eurabiens l'ont bien compris, tant ils innondent nos réseaux d'information de communiqués allant tous dans le même sens. J'ai déjà parlé de l'AFP, qui fait le travail de la Pravda en France, et du "parti Baas reconstitué", les médias français comme on les surnomme en Irak, qui maintiennent leur lecteur dans une ignorance crasse pour leur faire gober toujours le même slogan. En témoigne cet article d'un reporter américain sur place, ayant recueilli les paroles des Irakiens. Merci à David pour le lien :
"A lot of French journalists are shit," observa le sculpteur Haider Wady un après-midi alors que nous partagions un narghile rempli de tabac à la saveur de pomme. "Ils viennent ici nous parler en mal des États-Unis d'une façon stupide. Ils s'en fichent, des crimes de Saddam Hussein." Et ce n'est pas que les Français, nota Esam Pasha, un peintre et traducteur pour l'armée US : "Les journalistes européens et arabes viennent nous parler, mais ils se fichent éperdument de notre joie d'avoir été libérés. Tout ce qu'ils veulent, c'est que nous fassions des commentaires antiaméricains." Même un chaffeur de taxi qui m'amena à Shabandar un jour y a mis du sien. "Les télés Al-Jazeera et Al-Arabia, no good," dit-il. "Elles ne montrent que des images d'attentats à la bombes et de meurtres d'Américains — toujours comment tout va mal en Irak, jamais comment c'est en train de s'améliorer."
Pis, j'entendis beaucoup d'histoires à Shabander concernant des envoyés spéciaux qui mettaient en scène des "infos" afin de discréditer les U.S.A. Un jeune homme m'introduit à un photographe espagnol qui, il me raconta plus tard, venait de faire poser une femme irakienne dans un tas de décombres en train de regarder le ciel plaintivement, comme si elle cherchait la délivrance de bombes américaines. Mohammed Rasim, un peintre, prétend avoir vu des journalistes de la télé arabe payer des Irakiens désœuvrés pour mettre le feu à une voiture et jeter des pierres dessus afin de créer une manifestation "anti-américaine". "Ces journalistes sont venus ici avec tous leurs préjugés" grogna-t'il. "Ils ne sont intéressés par rien qui puisse contredire leur point de vue antiaméricain."
Dans la guerre contre le totalitarisme islamiste, allié au totalitarisme socialiste, nous avons besoin de messages clairs. Ces vidéos - merci à l'autre David ! - les véhiculent. Enjoy !
Honneurs à l'armée américaine :
http://www.youtube.com/watch?v=QvfRCwk8edg
http://www.youtube.com/watch?v=xXAex7-Jh3Q
http://www.youtube.com/watch?v=xOQXzlWQp2w
Avis d'une votante irakienne
http://www.youtube.com/watch?v=xOQXzlWQp2w
Des résistants iraniens remercient Bush :
http://www.youtube.com/watch?v=O3CAfEQRQOI
Dernières infos sur la manipulation de Qana ! Si vous avez manqué le début, c'est ici :
http://drzz.over-blog.org/article-3520958.html
Caroline Glick, rédactrice adjoint du Jerusalem Post, 28 août 2006 : Dans la guerre d'aujourd'hui, seuls les bloggers sont devenus l'organe critique dans la défense du monde libre et de la vérité."
Lors de la campagne contre le Hezbollah au Liban, les bloggers ont couvert avec minutie les événements, comme jamais auparavant. Ils ont réussi à démasquer un côté sordide que les médias opérant au Moyen Orient ont caché pendant des années. En fait, au lieu d'être les observateurs neutres des faits, les médias mondiaux et les ONG ont collaboré avec les organisations terroristes. La blogosphère, et en particulier Little Green Football, Zombietime, Michelle Malkin et EU referendum ont sans arrêt montré les falsifications systématiques des événements, le montage de fausses attaques contre les bénévoles, la fabrication d'images par le Hezbollah, aidés par les médias officiels et les ONG. La Croix Rouge Internationale, organisme international protégé est particulièrement coupable. La blogosphère, notamment EU Referendum et Zombietime ont démontré que les employés de la Croix Rouge à Tyr et à Kana ont monté de toutes pièces une histoire à propos d'une attaque aérienne d'Israël contre des ambulances le 23 juillet à Kana. Dans un document exhaustif "comment les médias ont rendu légitime un faux anti-israélien qui a changé le cours de la guerre", Zombietime a montré les employés de la Croix Rouge en train de prendre une vieille ambulance rouillée et ont prétendu que Tsahal avait tiré un missile dessus qui a fait un trou sur le toit, juste au milieu de la croix! Ces allégations ont été rapportées comme véridiques par des médias "crédibles" tels que AP, Time magazine, BBC, ITV, NYTimes, The guardian, The Age, MSNBC, Los Angeles Time et le Boston Globe. Amnesty International et Human Rights Watch ont tous les deux publiés un compte rendu de l'attaque comme preuve des "crimes de guerre" d'Israël au Liban. Par l'examen des photos prises de l'ambulance, ZombieTime a montré simplement que le trou au milieu de la croix était le trou d'aération du véhicule, et que les marques sur le toit étaient bêtement celles de la rouille et de la vétusté. Pas de trace de feu dans l'ambulance. Il n'y avait ni attaque, ni missile, un montage complet, concocté par des employés de la Croix Rouge, qui jouissent d'un statut protégé, vu la neutralité de l'organisation. Une semaine plus tard, EU Referendum rapportait des faits dans une enquête similaire sur ce qui s'était passé à Kana le 30 juillet 2006, (plus précisément On constate avec amertume, que plus le temps passe, plus les organisations de la terreur affinent leur désinformation dans un but subversif, sans que les gouvernements du monde libre et leurs médias ne s'en inquiètent outre mesure. Et on constate aussi que la protection contre la désintégration de nos sociétés passe aujourd'hui par l'action d'individus isolés, épris de liberté. Grâce à la vigilance de quelques bloggers, on a découvert la corruption des médias et du réseau global des ONG. Et grâce à eux l'objectivité a pu être rétablie. Il appartient aux citoyens du monde libre qui attachent de l'importance à la notion liberté de reconnaître cette corruption et d'applaudir ces bloggers, et peut-être de les rejoindre, en refusant que des institutions véreuses n'assombrissent notre vie.